28 octobre, 2008

Ce que j’aime dans ce courant artistique , c’est la sensation que le tableau va se mettre en mouvement. Il y a une certaine fluidité que j’apprécie .
cliquez sur l’image pour en savoir plus sur le mouvement des impressionnistes.
Pour les visiteurs de l’exposition organisée par quelques jeunes peintres en 1874, les oeuvres si aimées aujourd’hui ont constitué un véritable choc.Les impressionnistes refusaient les conventions classiques et la peinture d’atelier officielle.Ils peignaient en plein air et leurs sujets n’étaient ni mythologiques , ni religieux , ni historiques. Ils devinrent les peintres du quotidien , des canotiers, des petits rats de l’Opéra, des « impressions »de la nature.
Et justement parce qu’ils peignaient en plein air et non en ateliers exposés à une froide lumière, leurs couleurs étaient plus vives, plus claires et plus lumineuses, les ombres elles-mêmes se coloraient, les visages étaient parsemés de reflets ensoleillés,tandis que les contours , devenaient plus flous, plus imprécis.Cest cette vie nouvelle donnée à la couleur par la lumière qui fait le charme des toiles impressionnistes.
Plus de 125 ans plus tard , celui-ci n’est toujours pas tari…
Les principaux artistes sont : Degas, Manet,Renoir , Monet,Pissaro, Cézanne , Sisley, Morisot, Cassatt,Boudin, Van Gogh, Seurat…..













voilà quelques unes des oeuvres que j’aime chez les artistes que je vous ai nommé plus haut!
Au hasard de mes promenades sur la toile , je me suis posée sur un blog sympathique , pleins de couleurs,………., à vous de juger!!
Monsieur Filippi votre blog est vraiment magnifique , et vos peintures méritent selon moi d’être mise avec mon article sur les impressionnistes !!

Par ankana87 le 28 octobre, 2008 dans l'art
2 commentaires

allez découvrir le monde du percheron !
et ici quelques diaporamas sur le percheron grâce à M.Dugast.
Le Percheron était employé il y a quelques siècles comme destrier de guerre et était d’un modèle plus léger que celui que nous connaissons. Le Percheron tirait aussi les carrosses et les voitures de poste. Au 13ème siècle, grâce à la bataille de Poitiers, qui apporta des chevaux Arabes et Orientaux confisqués aux Sarrasins, des juments de trait natives du Perche et des Cobs furent croisées avec ce butin de guerre. Elles donnèrent naissance aux premiers Percherons. Des infusions de sang arabe permirent au Percheron d’évoluer vers un modèle léger ou demi-lourd, actif et élégant.

Au Moyen Age, des chevaux Barbes et Arabes furent ramenés des croisades et mêlèrent leur sang à celui des Percherons. A la même époque, le comte du Perche rapporta d’Espagne des chevaux ibériques qu’il fit reproduire avec des Percheronnes. Plus tard, le comte de Rotrou métissa ses Percheronnes avec des étalons Andalous. Au 18ème siècle, la race Percheronne subit un nouveau métissage avec des Arabes, et une race nouvelle pour l’époque, des Pur-Sang Anglais.


Le Moyen Âge consacre de belles pages de miniatures au cheval. Celles-ci, issues de livres d’heures, de romans de chevalerie et de chansons de geste, le représentent intimement lié aux activités de l’homme, que ce soit pour les labours, les batailles, les travaux domestiques, les tournois, les cortèges d’apparat ou le transport. Réservé à la noblesse, le cheval est figuré richement orné, avec une réalité anatomique plus ou moins fantaisiste!


Par ankana87 le 28 octobre, 2008 dans faune
1 commentaire
N’étant pas très grande , j’ai toujours été impressionnée par la taille de ces chevaux, leur force tranquille!







Cette race est née en France, dans le Perche. Grâce à son ossature solide, il est renommé dés le Moyen-Âge. Le modèle s’est ensuite allégé grâce à l’apport de sang arabe, à la suite de la victoire de Charles Martel à Poitiers, qui a permis de développer un modèle de cheval de trait élégant.
Le stud-book a été crée en 1883.( Registre contenant la généalogie et les performances des chevaux pur-sang)
Dés le XIXème siècle, il est importé aux États-Unis où il est toujours très présent. Il est également très apprécié au Japon.
Le modèle développé aux États-Unis est plus grand, avec des membres plus sains car ils n’ont pas été sélectionnés pour la boucherie. Les Haras Nationaux y ont d’ailleurs acheté un étalon vedette.
Des croisements avec des Pur-Sang Anglais donnent de solides chevaux pour l’équitation de loisirs.
Universellement connu, le Percheron a fait souche dans de nombreux pays (USA, Canada, Japon, Grande Bretagne, etc.). Il est le symbole du cheval de trait par excellence, et ses aptitudes au travail sont diverses et remarquables. Originaire de Normandie, on le reconnaît à sa robe grise, souvent pommelée. Huit chevaux Percherons travaillent quotidiennement à Eurodisney, et ravissent le public.
Rayon :
HIPPOLOGIE
| Le Percheron
Auteur : Jean-Léo DUGAST |
Editeur :
CASTOR ET POLLUX
Année : 2000
Résumé :
La réputation du cheval percheron a largement dépassé les limites de la petite province du Perche dont il est originaire. Celui que l’on connaît désormais comme « le roi des chevaux de trait » s’est offert une carrière mondiale. Depuis plus d’un siècle il a fait étalage de sa force, de son courage et de son intelligence, aux quatre coins de la planète. Les photographies de Jean-Léo Dugast sont un bel hommage au cheval à la robe du gris pommelé au noir de jais. Il a su avec tendresse parfois, avec énergie souvent, apprivoiser le percheron dans toutes ses nuances.
Les chevaux de trait 
|
Auteur : Emmanuelle DAL’SECCO |
Editeur :
ARTÉMIS
Année : 2006Nombre de pages : 119
Rayon :
HIPPOLOGIE
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ÉQUIDÉS
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Résumé :
On comptait plus de 3 millions de chevaux de trait en France au début du XXème siècle. Mais à l’aube du troisième millénaire, leur effectif se réduit comme peau de chagrin : 30 000 en race pure et 60 000 en croisements. Au point que nos neuf races sont aujourd’hui menacées de disparition.
Dans le clan des adeptes, la résistance s’organise. Après tant de siècles de bons et loyaux services, pas question de laisser son plus fidèle compagnon à l’agonie. Et frot de sa polyvalence, le trait s’invite dans tous les domaines, tous les concours, toutes les fêtes… Le hercule des équidés n’a pas dit son dernier mot : la preuve par neuf.
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Par ankana87 le 28 octobre, 2008 dans faune
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