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Ankana87

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Un Sourire

Un sourire ne coûte rien et produit beaucoup. Il enrichit ceux qui le reçoivent, sans appauvrir ceux qui le donnent. Il ne dure qu'un instant, mais son souvenir est parfois éternel. Personne n'est assez riche pour pouvoir s'en passer, Et personne n'est trop pauvre pour ne pas le mériter. Il crée le bonheur au foyer, est un soutien dans les affaires et le signe sensible de l'amitié. Un sourire donne du repos à l'être fatigué, rend du courage au plus découragé, console dans la tristesse et est un antidote de la nature pour toutes les peines. Cependant il ne peut s'acheter, ni se prêter, ni se voler. Car c'est une chose qui n'a de valeur qu'à partir du moment où il se donne. Et si quelquefois vous rencontrez une personne qui ne vous donne pas le sourire que vous méritez, soyez généreux, donnez-lui le vôtre. Car nul n'a autant besoin d'un sourire que celui qui ne peut en donner aux autres.

Un peu de liberté……….

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Un peu de légèreté

Un peu de légèreté

passe le temps ……..

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Un peu d’évasion………….

Un peu d'évasion.............

le grenier d’Ankana

Un peu d’eau………

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4 novembre, 2008

Le Moyen-Âge

Une période de l’Histoire que j’aime beaucoup : le Moyen-Âge !!

Le Moyen-Âge dans Histoire frise-570x359

Pendant des siècles , nous avons cru que c’était une période sombre ; pourtant nous aurions dû regarder un peu mieux les oeuvres d’art de cette époque et aussi les constructions !!

cet article sera suivi par d’autres , car la période du Moyen-Âge est tellement riche qu’un seul article me semble trop peu et ne rends pas hommage à tous ces hommes qui nous ont tant donné !!

VitrailLouvre dans Histoiretravail d’artiste : vitrail

Ville%20au%20Moyen-Age%20-%20bigles enluminures sont colorées !

les couleurs sont ,en général ,assez vives!!

iagklhyaCette célèbre tenture de la Dame à la licorne a été tissé vers 1500, dans les Flandres, berceau de la tapisseries au Moyen-Âge. Cet ensemble, composé de six tapisseries, a été découvert en 1841, suite à la vente du château de Boussac qui abritait alors ces tentures. Depuis 1882, elles sont conservées au Musée du Moyen-Âge (Musée de Cluny, Paris), dans une grande salle ronde.

Scène de défrichement. Tapisserie de Bayeux, XIe siècleTapisserie de Bayeux, XIe siècle

Quelques châteaux-Forts en Limousin :

montbrunMontbrun (Limousin)JEP-MUL109327-74_SIT_109327Coussac-Bonneval, toujours habitait par la famille  de Bonneval, château richement meublé.

1609cliquez sur la photo et découvrez-en plus…….

Châlucet, site remarquable pour moi ,car il me rappelle de bons souvenirs avec les copains et les copines : sacrés promenades !! à ses pieds coule la Briance , joli coin nature pour une journée en famille…….

Situation : Le château se situe sur un promontoire qui surplombe le confluent de la Briance et de la Ligoure. Permis de construire : Même si le site est utilisé depuis la préhistoire, la première forteresse date du début du XIIIème siècle. Histoire : A cette époque le Bas-Châlucet est une petite ville habitée par des chevaliers et fortifiée, avec un donjon, la « Tour Jeannette ». Le Haut-Châlucet est plus simple, puisque composé d’un donjon et d’une enceinte. Placé à la limite des royaumes de France et d’Angleterre, le site est stratégique. C’est certainement pour cette raison que dans la deuxième moitié du XIIIème siècle, Géraud de Maulmont transforme le Haut-Châlucet en véritable forteresse pour les vicomtes de Limoges. Au début du XIVème siècle, le roi Philippe-le-Bel prend le château. Forteresse royale, elle est donnée à Henry de Sully, un proche du roi, et devient un point d’appui important pendant la guerre de cent ans. En 1376, il est pris par des brigands qui rançonnent et terrorisent la région. Il faudra attendre 1394 pour que les troupes royales le reprennent. Mais Charles d’Albert, capitaine du royaume en laisse la gérance à des routiers Gascons qui rançonnent et semment à nouveau la terreur. Le château sert ensuite de base militaire pendant les guerres de religions. En 1574, Jacques de Maulmont en revendique la propriété et le prend. Il rançonne lui aussi la région jusqu’à ce que le roi ordonne une expédition punitive en 1577. Le château est alors fortement abîmé. En 1593, apprenant que des Ligueurs s’y intéressent, les consuls de Limoges prennent les devants en le faisant définitivement détruire. Aujourd’hui : La forteresse, propriété du Conseil Général et classée Monument Historique est actuellement en restauration. Des visites payantes sont toutefois organisées.

Enserrée également dans un rempart, c’est une véritable petite ville qui a vécu et s’est développée entre le XIIe-XIIIe siècle et le XVe s. Les recherches montrent en effet que ce secteur jusqu’ici inconnu des archéologues recelait les vestiges de nombreux bâtiments, maisons de chevaliers aux formes différentes, généralement étroites et hautes, souvent collées les unes contre les autres ou contre l’enceinte fortifiée. Des ruelles étroites, permettant la circulation au cœur du village, commencent à être dégagées par les archéologues. Les fragments d’objets (céramiques, morceaux de verre, fragments d’outils en fer, ossements animaux, charbons de bois…) permettent, après un temps de nettoyage et d’étude qui peut être assez long, de percevoir les conditions de vie des habitants de cette petite ville. Mais il faudra attendre que ces recherches puissent être poursuivies pour les décrire plus précisément.

Patrice Conte
( Coordination des recherches archéologiques à Châlucet,
Direction Régionale des Affaires Culturelles du Limousin)

Qu’est-ce que le Moyen-Âge ?

Période couvrant dix siècles environ, le Moyen Age s’étend de la fin de l’Antiquité au début de la Renaissance, de la fin du Ve à la fin du XVe siècle. Traditionnellement, les historiens font commencer le Moyen Age en 476, date de la déposition du dernier empereur romain, Romulus Augustule, par le chef barbare Odoacre. 1492, année de la “découverte” de l’Amérique par Christophe Colomb, marque la fin du Moyen Age.Des changements importants étaient survenus dans l’empire romain aux IIIe et IVe siècles. La religion chrétienne, autorisée par l’empereur Constantin en 314, était devenue la religion officielle. L’empire romain avait été divisé en deux parties, chacune dotée d’une capitale: Rome pour l’empire d’Occident, Constantinople, fondée par Constantin sur le site d’une ville dont le nom grec est Byzance, pour l’empire d’Orient.

Ouvrages retraçant le Moyen-Âge :

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Le Moyen Age, vaste période difficile à cerner, fut objet de fantasmes et de représentations, diabolisé par la Renaissance, idéalisé par le XIXe siècle romantique.
Conscient de l’impact que ces représentations ont sur nous encore aujourd’hui, l’auteur de l’ouvrage, Robert Bartlett, éminent médiéviste, nous propose une nouvelle approche de l’extraordinaire richesse de l’époque. C’est sur une remarquable iconographie, abondante et pertinente, que s’appuient ses thèses. Edifices religieux, objets de culte, mais aussi et surtout nombreuses peintures, enluminures et pages de manuscrits en provenance de bibliothèques et d’archives du monde entier, sont donnés à voir à travers plus de huit cents illustrations, lesquelles s’organisent autour de huit chapitres thématiques qui retracent avec force une histoire des idées, croyances et philosophies tant politiques qu’artistiques ou métaphysiques.
Regard du Moyen Age sur lui-même, ce livre nous fournit des clés inattendues et édifiantes qui permettent une nouvelle compréhension et une lecture en profondeur des structures de la société médiévale, de ses principales réalisations, de sa religion, de ses hommes et de son histoire, sans oublier ses héritages et sa postérité.

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Alors que Dagobert devient roi des Francs, Mahomet entre victorieux à La Mecque.
Haroun al-Rachid, le plus célèbre des califes de Bagdad, héros de plusieurs contes des Mille et une Nuits, fait alliance avec Charlemagne. Le temple d’Angkor Vat et l’abbaye de Cluny sont achevés presque en même temps ; la forteresse du Grand Zimbabwe rivalise avec les pyramides aztèques. Pendant que Guillaume le Conquérant prépare l’invasion de l’Angleterre, les savants chinois construisent la première horloge astronomique.
L’harmonie zen séduit le Japon, mais la guerre de Cent Ans fait rage entre la France et l’Angleterre. Réunis sous la direction scientifique de Georges Duby, de l’Académie française, les meilleurs spécialistes proposent une histoire panoramique et véritablement mondiale, des invasions barbares à la découverte de l’Amérique.

Cet ouvrage envisage dans son ensemble la famille à travers l’Europe, de la fin de la période romaine jusqu’au XVe siècle.

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Les auteurs y analysent les conditions de vie relationnelle qui existent aussi bien dans la noblesse que parmi les habitants des campagnes. Ils se penchent sur les rapports entre les  » barbares  » et l’Empire romain en déclin, ainsi que sur l’influence religieuse au sein de la société médiévale. La première partie couvre l’histoire de la famille dans une société qui voit se mêler à elle des Germains aux coutumes parfois diverses.
Après avoir rappelé les fondements romains de la famille, l’auteur analyse la famille germanique : on y observe une fraternité guerrière, une hiérarchisation avec un chef de maison ainsi que des réseaux de droits et d’interdits. Ensuite, aux VIIIe, IXe et Xe siècles, la primauté de la famille conjugale simple est écrasante. On assiste, à l’époque carolingienne, à la construction d’une théorie du mariage, décisive pour l’histoire de la famille occidentale.
Quant à l’ère féodale, elle est marquée par une prédominance des mâles dans une société qui valorise la force physique. On observe également que la pureté du sang sous-entend certains interdits sexuels pour la conservation de la famille. L’esprit d’association visant à préserver l’intérêt commun résulte de la même conception, et constitue un trait social capital au Moyen Âge central. Enfin, du XIIIe au XVe siècle, dans un climat de querelles politiques, de crises et d’épidémies, la famille sert souvent de refuge.
Le sentiment relationnel père-fils est très élevé, et l’on constate d’ailleurs l’émergence d’un véritable statut de l’enfant.

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modemedievalle Moyen-Âge , pour les enfants

un petit tour de ce côté , pour vivre l’époque médiévale……..

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et par ici pour découvrir , l’univers des passionnés!!

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Par ankana87 le 4 novembre, 2008 dans Histoire
2 commentaires

La rue officinale

La rue officinale dans FloreNOMS COMMUNS :mp0095 dans Flore
Herbe de grâce, Rue puante, Herbe à la belle-fille, Rue des murailles

CONSTITUANTS PRINCIPAUX :
Une huile essentielle, un glucoside (rutine), des flavonoïdes, des alcaloïdes

PARTIES UTILISÉES :
Les parties aériennes
La rue officinale (Ruta graveolensL.) est un arbrisseau de la famille des Rutacées, cultivé pour ses feuilles utilisées pour leurs qualités aromatiques et médicinales Nom commun : rue fétide, herbe de la rue, rue des jardins, herbe de grâce.Autres langues : de : Weinraute, en : common rue, es : ruda, it : ruta.

LA RUE, RUTA, PLANTE MEDICINALE, PLANTE MAGIQUE, PLANTE TOXIQUE

Il existe plusieurs centaines d’espèces de Ruta, Rutaceae, dans les régions tempérées et subtropicales.
Ruta graveolens, la rue fétide, et Ruta chalepensis sont les plus connues et utilisées, dans une moindre mesure Ruta montana.
Ce sont des plantes originaires du pourtour méditerranéen et du Moyen Orient mais qui ont été acclimatées dès le Moyen- Âge dans les régions tempérées plus froides de l’Europe. Les Espagnols et les Portugais les ont introduites au 16ème siècle en Amérique du sud.
Les rues sont en effet des plantes médicinales traditionnelles en Europe depuis l’époque gréco-romaine. Ce sont désormais des plantes un peu délaissées en phytothérapie moderne car considérées, à juste titre, comme potentiellement trop toxiques. Par contre Ruta graveolens reste une plante utilisée en Homéopathie.

LA RUE PLANTE MAGIQUE

Il est très fréquent, en Amérique du sud, de noter la présence de rue dans les jardins des maisons, dans les jardins des églises ou aux alentours des presbytères. Il s’agit en général de Ruta chalepensis. C’est la rue du Moyen-Orient, celle dans laquelle, selon la Bible, Jésus essaya de se cacher pour échapper aux soldats Romains. Est-ce l’origine de sa renommée comme plante protectrice contre les « forces du mal » ?
Cette croyance est encore bien vivante en Amérique du sud, c’est la plante de la chance, celle qui permet d’ouvrir les portes du succès, celle qui éloigne les mauvais esprits et protège des jeteurs de sorts. Dans la province de Corrientes, en Argentine, il est traditionnel de boire une infusion de rue aromatisée au jus de canne le premier jour du mois d’Août pour s’assurer d’une bonne santé pour l’année à venir.

Utilisation

Elle fut utilisée dès l’Antiquité, notamment chez les Romains, et figurait dans la liste des plantes potagères recommandées dans le capitulaire De Villis (liste des plantes cultivées dans les jardins de monastère sous Charlemagne). Elle entrait au Moyen Âge dans la composition du vinaigre des quatre voleurs censé protéger de la peste.
En frotter le plancher de la maison chasse les sorcières ; une feuille de rue accrochée à la boutonnière protège également des sorcières et du mauvais oeil. En Ardèche, les charretiers conservaient de la rue dans leur poche « pour empêcher les sorcières d’arrêter subitement leur attelage par leur mauvais regard ».
En Gironde, une feuille de rue portée sur soi procure le succès dans toutes les entreprises ; dans la même région, pour obtenir du travail ou de l’argent, on plaçait, devant le feu un vase de couleur noire rempli d’eau bénite et, dès qu’on obtenait l’ébullition, on y jetait à trois reprises une branche de rue en disant à chaque fois: « Ô rue ! belle rue ! toi si belle, fais que tout homme en passant apporte ici or et argent. » Dès qu’un homme passait, le contenu du vase était répandu devant la maison. Cette opération devait être pratiquée de bon matin.
En Italie, notamment à Venise, la présence de rue dans une maison porte bonheur aux membres de la famille

Les feuilles fraîches peuvent être utilisées pour assaisonner les sauces et les plats de viande. À utiliser modérément à cause du goût amer et des risques de toxicité. En Italie du Nord, elle est utilisée pour parfumer l’eau-de-vie (grappa alla ruta). En Éthiopie, on en met une brindille dans les tasses de café. Au Moyen-Orient, la rue est utilisée dans la fabrication d’un produit à base de beurre de chèvre ou de brebis qui se conserve pendant quatre mois (Amr, 1991). En Angleterre, les feuilles étaient autrefois bouillies avec de la mélasse pour les conserver longtemps.

On extrait de la rue officinale une huile essentielle utilisée en parfumerie.

La rue officinale est aussi utilisée en homéopathie (sous forme de granules).

À petite dose, la rue a des vertus toniques et stimulantes qui facilitent la digestion. Elle contient une substance qui lui doit son nom, la rutine (ou rutoside), proche de la vitamine P, aux propriétés vasoprotectrices.

Sa culture a été interdite durant de longues années car elle possède des propriétés abortives et à forte dose, elle risque d’être toxique.

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rue---20-lallez chez les Végétaliseurs…vous en serez plus sur les plantes!

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  • La rue est une plante très puissante.
  • Elle ne doit jamais être consommée par des femmes enceintes car elle est abortive.
  •  De grandes doses sont toxiques et provoquent la confusion mentale.
  •  L’huile essentielle peut même provoquer la mort.
  • L’hydrastis du Canada (Hydrastis canadensis – Goldenseal) peut agir comme antidote en cas d’ingestion de doses excessives de rue.
  • La manutention de la plante peut causer des réactions allergiques (photodermatites) semblables à celles de l’herbe à puce chez certaines personnes.
  • Je rajoute que dans tous les cas, n’oubliez pas de consulter l’avis d’un professionnelle de la santé : votre pharmacien ou votre médecin ! Eux seuls peuvent savoir de quel remède vous pouvez avoir besoin………

    Par ankana87 le 4 novembre, 2008 dans Flore
    22 commentaires

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