11 novembre, 2008


ALLEMAND |
herzlich willkommen |
CRÉOLE ANTILLAIS |
bel bonjou |
CRÉOLE GUADELOUPÉEN |
bienvenue |
CRÉOLE MARTINIQUAIS |
bienvini |
CRÉOLE MAURICIEN |
bienvéni |
ESPAGNOL |
bienvenido (m) / bienvenida (f) / bienvenidos (pl) |
SUISSE-ALLEMAND |
härzliche wöikomme |
Merci à Tritriva et à Arquencielle , car voilà d’autres traductions du mot bienvenue :
Malgache tonga soa
Portugais bemvinda
Japonais okaeri nasai
ET merci aussi à toi Alilou2 :
Arabe marhaba ou ahlen oua sahlen
Merci aussi à toi Valychristineoceany :
Roumain bine ati venit








Par ankana87 le 11 novembre, 2008 dans Non classé
9 commentaires
Certains monuments aux morts sont très simples , d’autres au contraire sont magnifiques!!
En voilà quelques uns pris aux hasards de mes recherches……………..n’oublions pas qu’ils sont là pour nos morts, nos soldats tombés pour la Patrie.

monument aux morts d’Oran


Le Teich , en Gironde sur le Bassin d’Arcachon

Monument aux morts de la ville de Bully-les-Mines
Riallé
Samogneux en Lorraine
Lens. Plozévet
Méteren

monument aux mort dans Paris
et tant d’autres encore , encore tous nous rappellent ces hommes , morts pour la Patrie!
ne les oublions pas!
quelques ouvrages :


Témoignage d’un simple soldat allemand de la guerre 1914-1918, A l’Ouest, rien de nouveau, connut, dès sa parution en 1928, un succès mondial retentissant et reste l’un des ouvrages les plus remarquables sur la monstruosité de la guerre.
UN POILU RACONTE…
1915-1918
Annie Queyrel, Jacques Queyrel
Mémoires du XXe siècle
BIOGRAPHIE, AUTOBIOGRAPHIE, TÉMOIGNAGE, RÉCIT HISTOIRE MÉMOIRES, RÉCIT HISTORIQUE
La correspondance de guerre 1915-1918 échangée entre Pierre Beau et sa femme Henriette Gonin, soit 1624 lettres du 2 janvier 1915 au 28 octobre 1918 est celle d’un observateur de la Grande Guerre et de l’émancipation de la femme.
Le présent ouvrage relate les thèmes les plus marquants du poilu dans sa correspondance, la guerre bien sûr, mais aussi l’entretien des liens familiaux les plus profonds avec son pays, Trainel dans l’Aube.
Les monuments aux morts de 14-18 ressuscités dans un livre
PAR GÉRALDINE BEYS
Par ankana87 le 11 novembre, 2008 dans Histoire
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Ce matin avec les enfants , nous sommes allés sur la place du village pour rendre Hommage aux Poilus………


mémorial à l’église de Ladignac-le-Long
Après le discours du Maire , nous avons eu droit à une superbe leçon d’Histoire .Lecture faite par un camarade de classe des enfants , le petit Alexandre!
Malgré son angoisse et son trac , sa voix était claire et je trouve qu’il a très bien lu cette page d’Histoire………
Quelques ouvrages sur les Poilus :
Sur les cinquante et un mois et demie de guerre, quarante trois environ eurent pour dénominateur commun la tranchée.
Exception faite des brèves et sanglantes offensives d’Artois et de Champagne en 1915, de la Somme en 1916 (Verdun fut aussi une bataille des tranchées), du Chemin des Dames en 1917, et de la contre-offensive alliée en 1918. La tranchée a façonné le Poilu. Elle fut le lieu clos de l’angoisse, de la peur, de l’ennui, le golgotha d’un interminable calvaire. » Nous avons connu l’incommunicable » a écrit Maurice Genevois.
L’attaque est mouvement courant, sautant dans les trous d’obus, haletant, le soldat ne pense qu’à l’objectif. La tranchée est immobilité, attente. Un face à face gris, monotone avec la mort imprévisible. Ici, le Poilu décompté sa vie en jours, en heures. Son existence n’a plus d’horizon – aujourd’hui, à ses pieds un camarade brisé, demain son tour ? Le sens du devoir, enchaîné dans les mailles de la discipline, le rive à son trou.
En tranchée, la Camarde prend son temps, choisit ses proies, distille goutte à goutte sa boulimie sanguinaire. Les grands sillons de la guerre s’ensemencent du sang des hommes. Archétype du guerrier de 14-18, le breton paysan représentait une » chair à canons » idéale. Une Bretagne du 19e siècle est venue agoniser dans ces galeries de taupe. Aujourd’hui, les portes de l’Histoire se sont ouvertes toutes grandes pour ces géants anonymes et muets.

François Pairault est agrégé de l’Université, docteur ès lettres et maître de conférence honoraire d’histoire contemporaine à l’université de Limoges.
Après avoir consacré sa thèse à Eugène Eschassériaux, il a publié divers ouvrages, tant collectifs qu’à titre personnel.
Dans le cadre de l’opération » Paroles de poilus « , lors du 80e anniversaire de l’armistice de 1918, les antennes de Radio France ont demandé aux Français de leur envoyer les plus belles lettres de poilus de la Grande Guerre, qui restaient conservées dans leurs archives.
Des milliers d’auditeurs ont répondu à cet appel. Radio France a reçu plus de 8 000 lettres et extraits de journaux de guerre écrits dans le feu de l’action et dans la boue des tranchées. Ce livre rassemble les plus beaux textes reçus : des lettres, ainsi que des extraits de correspondances et de journaux intimes réunis en florilèges. Regroupées au fil des » saisons de l’âme » qui ponctuèrent cinquante-deux mois de guerre, ces lettres sont illustrées par leurs manuscrits et par des documents originaux : photographies de leurs auteurs, cartes postales, objets de l’époque.
Elles racontent les détails d’une guerre qui n’a jamais reçu ce type d’éclairage dans nos livres d’histoire. Elles disent les souvenirs, les souffrances et les espoirs de ces huit millions de poilus que furent nos pères, nos grands-pères et nos arrière-grands-pères. Elles reconstituent notre propre album de famille. Elles n’ont pas vieilli d’une seconde. A l’occasion du 90e anniversaire de la Grande Guerre, Paroles de poilus a été entièrement remis à jour.
Des lettres d’inconnus (les dix fils Longevialle) et de célébrités (Alain-Fournier), sont venues l’enrichir, ainsi que des dizaines de documents iconographiques et l’intégralité des textes parus à la suite de l’opération de Radio France.
Par ankana87 le 11 novembre, 2008 dans Histoire
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