20 novembre, 2008
« Le Petit Trou Vert ». !!! Jean, très amoureux, sortait depuis 3 ans avec une très belle fille,
Sylvie, et jusqu’à présent il n’avait pas eu de relation Sexuelle avec elle.

Un jour, il la caresse passionnément, lui enlève ses vêtements, mais quand il essaye de lui faire l’amour, Elle s’excuse en disant qu’elle le ferait seulement après le mariage…
Et que, une fois mariés, elle irait même Jusqu’à faire « Le Petit Trou Vert. »

Très confus, Jean appela Johanne (une femme avec qui il avait des Aventures sexuelles).
Il alla chez elle et lui demanda de faire « Le Petit Trou Vert ». Johanne, effrayée,commença à crier en disant qu’elle était une femme respectable et que jamais il ne lui passerait par la tête de faire une chose pareille et lui ordonna de sortir immédiatement de chez elle, en lui disant de l’oublier pour toujours.

Tout penaud, Jean décida d’aller dans un bordel. Il choisit une belle femme, et lui demanda si elle faisait de tout. Elle répondit que pour de l’argent elle ferait tout ce qu’il lui plaira…… Alors Jean lui demanda de faire « Le Petit Trou Vert ».
Elle répondit que bien que (…) de profession, elle était une femme respectable et elle commença à le frapper.
Entendant un tel chahut, le gérant ouvrit la porte d’un coup de pied et demanda :
« Que se passe-t-il donc ici ? »
Jean, plus confus que jamais, lui dit qu’il avait seulement demandé à la femme de lui faire le « petit Trou Vert ».
En entendant ceci, le gérant s’enragea et le sortit à coup de pieds du bordel en criant qu’il ne réapparaisse plus Jamais dans un bordel .





Toujours confus, Jean alla chercher Filip (un gay) pour éclaircir ses doutes.
Quand il le rencontra dans son salon de coiffure, ils se saluèrent très chaleureusement, et Filip lui dit qu’il était prêt à passer la nuit avec lui. Jean l’emmena et lui proposa de faire « Le Petit Trou Vert ». Filip ne supporta pas d’entendre cela et commença à le taper à coup de séchoir à cheveux et lui dit que c’était un pervers qu’il ne voulait plus revoir de son vivant et il le vira.

Jean était maintenant très nerveux et devenait fou…
Il retourna chercher Sylvie (sa fiancée)et lui demanda de l’épouser tout de suite et surtout de lui faire « Le Petit Trou Vert ».
Sylvie accepta et, très euphorique,elle promit qu’elle le rendrait très heureux et qu’ils feraient « Le Petit Trou Vert » autant de
Fois qu’il le souhaiterait.
Ils se marièrent et partirent en lune de miel en voiture. Jean, très inquiet,voulut interrompre le voyage pour faire ce fameux
« Petit Trou Vert »….

Dans cette angoisse, il détourna son attention de la route, et il prit un arbre de plein fouet.
Sylvie décéda dans l’accident!
Jean est encore en ce moment en train d’essayer de trouver ce qu’est « Le Petit Trou Vert » et moi aussi !!!.
J’ai perdu mon temps à lire cette connerie qu’on m’a envoyé et au final, on ne te dit pas ce qu’est ce sacré nom de dieu de (…) de « Petit Trou Vert ». Alors comme je refuse de rester seule dans ce doute,et surtout d’être la seule à m’être fait avoir, je vous en fais part .C’est normal ça sert à ça les amis….
merci à toi Odette, car je cherche toujours et je ne serais pas la seule!!mdr
Par ankana87 le 20 novembre, 2008 dans un peu d'humour
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« Eh bien, maintenant que nous nous sommes vues une bonne fois l’une l’autre, dit la Licorne, si vous croyez en mon existence, je croirai en la vôtre. »
Lewis Carroll, De l’Autre Côté du miroir
Cette citation illustre assez bien la position délicate que nous avons par rapport à la licorne. Est-ce seulement une légende ? D’où provient son existence ?
Car rien ne nous prouve en effet qu’un tel animal ait un jour existé. Bien sûr, la licorne est mentionnée dans les bestiaires médiévaux, de célèbres tapisseries la montrent accompagnant une dame, et l’on trouve des témoignages de son existence jusqu’au IVe siècle avant Jésus Christ !
Mais aujourd’hui, la licorne est (re)devenue simple un animal fantastique et mythologique ; elle n’est plus pourchassée pour sa corne magique, ne se bat plus contre le lion et ne gambade plus ailleurs que sur les écrans de cinéma ou de télévision…
La licorne n’existe pas, c’est un fait. Mais sa légende, elle, perdure.

Animal fabuleux, mythique, la Licorne ou Unicorne est emblème de chasteté , de pureté d’âme , d’amour honnête; et symbole de puissance , de force , de faste et de beauté, mais surtout de l’Unité. Elle est réputée protéger les justes, apporter une grande chance, et réaliser les désirs du coeurs………..
Elle est admirée et crainte en même temps. Sa couleur varie parmi les légendes mais avec une préférence pour le blanc, symbole de pureté. Sa corne est de multiples facettes : on la compare très souvent à la corne de narval pour ses vertus médicinales qui ont fait de ce splendide animal un trophée de roi auprès des chasseurs. 
La licorne est souvent dépeinte dans les bestiaires médiévaux (recueils de fables), comme étant un cheval blanc et arborant une corne spiralée sur le front, et qui peut vivre jusqu’à mille ans
La licorne est aussi une figure héraldique imaginaire qui, selon la tradition, a des sabots fourchus de cervidés et une barbiche sous la gueule
en Occident, elle est souvent décrite comme étant sauvage et indomptable; tandis qu’en Orient, l’on racontait que c’était un animal paisible et doux, qui apportait la bonne fortune.
La corne de cet animal de légende représente le 3ème Œil, l’œil de la vérité, la connexion avec le Divin.Ce 3ème Œil est une clé pour se connecter à cette Nouvelle Energie, et quoi de plus beau qu’une Licorne pour symboliser cette Unité avec le Divin. La Licorne nous ouvre grande la porte de la sagesse, de la connaissance et aussi une renaissance que sa corne nous invite à suivre…..

La licorne médiévale est un symbole de puissance, qu’exprime essentiellement sa corne, mais aussi de faste et de pureté. D’après une vieille légende de l’Inde, la licorne est douée d’un pouvoir magique. Sa corne sépare les eaux polluées, détecte les poisons et ne peut être touchée impunément que par une vierge Devenue au Moyen âge symbole de pureté, elle fut adoptée dans l’héraldique, et figure dans de nombreuses armes, celles les plus connues sont celles d’Angleterre. C’est un animal de bon augure. La licorne concourt à la justice royale, en frappant les coupables de sa corne.(Pour le suite de cet article allez donc sur La Licorne)
Les licornes sont réputées très craintives. Toutefois, d’après les légendes, elle se laissaient approcher par Merlin. Elles avaient aussi une fascination pour les jeunes vierges qu’elles parvenaient à sentir on ne sait comment. Les chasseurs profitèrent de cette attirance particulière de la licorne. Ils conduisaient une jeune vierge à proximité de la demeure de la licorne et la laissait assise sur un siège seule dans le bois. Aussitôt que la licorne voyait la jeune fille, elle venait s’endormir sur ses genoux et les chasseurs pouvaient alors lui décocher une flèche en plein poitrail quitte à blesser ou tuer la jeune fille. L’attrait financier de la corne et des sabots étant plus important qu’une vie humaine……
Il est nécessaire de savoir aussi qu’à l’origine, la licorne ne ressemblait pas à un cheval mais plutôt à une espèce de gros chevreau avec des sabots fendus, une grosse corne et une longue barbe pareille à celle d’un bouc. C’est au fil du temps que les licornes ont muté en grand cheval majestueux d’une blancheur incomparable.
Une légende raconte que les licornes, découragées par la méchanceté des hommes, disparurent du jour au lendemain et qu’elles reviendront le jour où la paix et l’amour régneront sur la terre.
« C’était une licorne blanche, de la même taille que mon cheval, mais d’une foulée plus longue et plus légère. Sa crinière soyeuse volait sur son front; le mouvement faisait courir sur son pelage des frissons brillants et flotter sa queue épaisse. Tout son corps exhalait une lumière cendrée; des étincelles jaillissaient parfois de ses sabots. Elle galopait comme pour porter haut la corne terrible où des nervures nacrées s’enroulaient en torsades régulières. »
Bertrand d’Astorg, Le Mythe de la dame à la licorne (Paris, 1963)
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Mais aussi pour connaître encore mieux la Licorne ……………dans les temps et en symboliques………
chez nos amis Canadiens aussi….
Quelques ouvrages :



En 1471, le roi Enrique IV de Castille, connu sous le sobriquet de « L’Impuissant », ordonne à l’un de ses fidèles, Juan de Olid, d’organiser une expédition en Afrique Noire et de ramener une corne de licorne dont on lui avait vanté les pouvoirs aphrodisiaques.
L’expédition va réunir quarante soldats, un majordome, un moine, un Juif expert en langues orientales, un médecin, une vierge certifiée censée servir d’appât à la licorne, et trois femmes de chambre. Pendant des années, ils vont traverser montagnes et déserts à la recherche d’une chimère. C’est l’histoire de cette aventure extraordinaire que nous confient Emilio Ruiz et Ana Mirallès dans une série où l’aventure et la poésie se mêlent, comme dans les plus belles légendes.
En 1471, le roi Enrique IV de Castille, connu sous le sobriquet de « L’Impuissant », ordonna à l’un de ses fidèles, Juan de Olid, d’organiser une expédition en Afrique Noire et de ramener une corne de licorne dont on lui avait vanté les pouvoirs aphrodisiaques. L’expédition a duré beaucoup plus longtemps que prévu. Installés tout d’abord à Marrakech car ils ont été confrontés à diverses luttes internes, ils partent finalement à Tombouctou.
La majorité des membres de l’expédition déserteront ou mourront. Une jungle impénétrable succède au désert, peuplée de sauvages menaçants et de bêtes féroces. Et surtout, la licorne reste introuvable. En 1471, le roi Enrique IV de Castille charge Juan de Olid de ramener d’Afrique Noire une corne de licorne dont on lui a vanté les pouvoirs aphrodisiaques. D’horizon en horizon, Juan et ses fidèles courent après un mirage.
Ouvrant le chemin à la force de leurs bras, ils découvrent d étranges cultures. Le temps efface les traces dans la mémoire tandis que l’amour embrase le cœur des soldats, mais le devoir refroidit leurs plus troublants désirs. Un jour, à l’aube, ils trouvent enfin la licorne. Elle est très différente des descriptions des livres : énorme, laide et grise, son unique corne est pourtant longue et puissante, capable de transpercer le cuir d’un éléphant.
Le tant attendu-chemin du retour peut enfin commencer. La grande aventure reste encore à vivre.
Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur « La Dame à la Licorne », sans jamais oser le demander ! Réjouissez-vous ! Le livre que vous tenez entre les mains est unique ! Un livre unique, pourquoi ? Parce que l’auteur met la lumière sur ce passionnant mystère et vous convie à des révélations : Qui est à l’origine de ces Tapisseries ? Qui est cette noble Dame figurant sur les Tapisseries, et que représente-t-elle pour nous ? Pourquoi cette œuvre suscite-t-elle un intérêt si vif de nos jours ? Aurait-elle un message voilé, essentiel pour nous ? Oui ! Pierre Lassalle l’affirme sans hésiter : cette œuvre artistique du XVème siècle s’adresse en réalité à l’Occidental de notre époque ! Elle est une sage représentation de l’évolution spirituelle, dont l’auteur révèle les différents degrés initiatiques. Un livre unique, pourquoi ? Parce que vous y trouverez les fruits d’une expérience artistique inédite : sur la base des Tapisseries de « La Dame et la Licorne » (en couleur dans cet ouvrage), l’auteur a invité quatre artistes peintres à réinterpréter cette œuvre, en pratiquant une nouvelle forme d’art qu’il a lui-même créée : l’« Art Imaginatif ». Qu’est-ce que l’Art Imaginatif ? C’est pratiquer un art en y associant la méditation. Pierre Lassalle vous révèle les secrets de cette pratique novatrice, accessible à tous. Et les artistes, par leur témoignage, vous emmènent dans les coulisses intimes de cette fabuleuse aventure de recréation, qui a duré presque cinq ans. Un livre unique, pourquoi ? Parce que l’auteur – avant tout chercheur spirituel – vous offre le résultat de ses investigations : il soulève le voile sur les septième et huitième Tapisseries, jusqu’ici perdues ! Vous pourrez ainsi contempler pour la première fois la totalité de l’œuvre de « La Dame et la Licorne », grâce aux huit tableaux réalisés en Art Imaginatif et reproduits en couleur. Après la lecture de ce livre, « La Dame à la Licorne » n’aura plus de secret pour vous !
Curieux Wilhelm Meister que le héros de ce roman, Anselme Christlein, curieux » apprentissage » que celui de ce quadragénaire, qui fut d’abord homme d’affaires, puis rédacteur publicitaire, puis conférencier, » représentant en convictions « , et qui enfin écrivit un livre.
A la suite de quoi, c’est ici que tout commence- une femme éditeur s’avise de lui commander un nouvel ouvrage. Un ouvrage sur l’amour. La dame ne veut rien d’imaginaire, mais » toute la vérité « . Elle verse à son écrivain des mensualités, et bientôt elle ne se satisfait même plus de l’évocation du passé amoureux de celui qu’elle pensionne. Il lui faut de l’actuel, du présent. Au besoin elle contribuera elle-même à l’enrichissement de ce roman » vécu « .
Et voici l’auteur et héros provoqué, par nécessité professionnelle, à la quête, aux aventures, aux performances, aux corvées amoureuses. Quête amère, cynique et que l’on dirait désespérante si la constante résistance de l’humour ne préservait le narrateur de se prendre au tragique. Tant de femmes allant et venant, tant de gestes et de mots » d’amour » s’accumulant conduisent peu à peu le lecteur au bout d’une nuit misogyne, quand survient la merveilleuse apparition d’Orli fin du jeu sans conviction.
Ce grand roman baroque, roman social, critique de toute une société, et en particulier satyre des mœurs d’une intelligentsia plus qu’à demi » entretenue « , est aussi une prouesse de langue et de style » joycien » qui en rendait la transcription en français particulièrement difficile.
Par ankana87 le 20 novembre, 2008 dans Legendes et Mythes
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