2 février, 2009

Valentina Ciobanu, alias Valy-Christine Océany, est née en 1958 à Lugoj, en Roumanie. Elle a déjà exprimé sa passion pour l’écriture en fréquentant le cénacle littéraire de sa ville natale. Par la suite, elle a travaillé pendant six ans dans une librairie de Bucarest. À Orléans depuis 1991, elle est, dans un premier temps, interprète auprès de la mairie d’Orléans et traduit parallèlement des journaux et un roman. Aujourd’hui, toujours Orléanaise, elle donne des cours de roumain, poursuit des études en psychologie et s’adonne à l’écriture, sa passion
D’un pays l’autre : 
« Partir, ce n’est pas quitter.[...]Partir, c’est poursuivre sa voie et accomplir sa destinée quelle que soit l’adversité. »
J’aime cette phrase qui exprime bien les pensées de chacun à un moment ou à un autre de sa vie…….là en l’occurence , elle fait référence au choix de Corina , Violeta et d’Oana.
Trois femmes , différentes : - l’une est soumise à son mari et femme au foyer alors qu’enfouie au plus profond de son être l’écriture la ronge (Violeta)
– la deuxième travaille dans un restaurant , et mariée mais voilà que son geste l’amène à rencontrer la première……….(Oana)
– la troisième se perd dans son amour maternel……..mais nous finissons toujours par ouvrir les yeux………….(Corina)
J’aime ce livre , tout d’abord parce qu’il va à l’essentiel sans fioriture , pas de description à la Harlequin ou à la Proust! non c’est direct , nous imaginons vraiment les personnages!!
Puis il n’y a pas de perte de temps avec des phrases à rallonge……..non il y a juste les mots qu’il faut!!
Le destin de ses femmes est un peu celui de n’importe quelle femme , mais Corina nous montre qu’on peut toujours avoir un peu de bonheur, suffit d’y croire……Violeta nous apprend à toujours croire en nos rêves enfouis …….Oana nous montre le chemin de la facilité , bien que je sois mal placée pour la juger!

Pour en savoir plus sur Valy , allez donc sur son blog >>> ICI<<<
Pour lire son interview, allez donc chez Géraldine
buna seara

Par ankana87 le 2 février, 2009 dans romans
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estampe geisha à la chataigne (2006) by Chrystel Mialet
Un peu d’histoire
Comme le chêne, le châtaignier appartient à la famille des cupulifères. Il met une cinquantaine d’années pour atteindre sa taille adulte et il commence à produire ses fruits au milieu de sa croissance. Il vit plusieurs siècles, quelques-uns atteignent le millénaire.
Le châtaignier est sensible aux grands froids, il aime les montagnes du midi de l’Europe. La floraison a lieu au printemps et la récolte se fait en automne.
Le châtaignier pousse dans un sol siliceux et acides, dépourvus de calcaire, sols ou les céréales poussent mal.
La châtaigneraie appelée aussi châtaignière joue un rôle écologique puisqu’elle maintient les sols qui, sans elles, seraient emportés par les pluies.
Jusqu’au début du siècle dernier, la châtaigne a été la principale et souvent l’unique nourriture des montagnards de l’Auvergne, des Cévennes, de la Corse et de toutes les contrées où la récolte des céréales était insuffisante ou nulle.Dans les campagnes, la châtaigne remplaçait souvent les céréales : on appelait d’ailleurs le châtaignier « l’arbre à pain ». A la fin du XIXe siècle, avec l’exode rural et l’apparition de graves maladies dans les exploitations, commence le lent déclin des châtaigneraies.
La châtaigne a pendant longtemps été considérée comme la viande du pauvre. Châtaigne était synonyme de pauvreté, alors que le même fruit présenté sur la table des gens de la ville sous l’appellation de marron, était associé à la richesse.
Même si les châtaigneraies représentent encore actuellement 576000 hectares soit 5% de toute la forêt française, la production de châtaigne a beaucoup diminué, elle n’est plus, aujourd’hui, que de 12000 tonnes contre 75000 tonnes en 1950.
Le Japon est devenu le principal producteur mondial, mais en France nous recevons surtout des châtaignes d’Espagne, de Portugal, de l’Italie et de la Turquie.
cliquez pour en connaître un peu plus sur cet akène…….
Origine
Probablement originaire d’Asie mineure, la châtaigne est présente en Europe depuis fort longtemps (on la retrouve sur plusieurs sites archéologiques de Dordogne notamment).
Elle est le fruit du châtaignier, que l’on dénommait « arbre à pain », ce qui dénote l’importance de la châtaigne dans les régimes alimentaires de l’époque. C’était particulièrement le cas dans le Massif Central et en Corse, mais également au Portugal ou en Italie.
C’est un akène, un fruit sec à une seule graine, à l’instar de la noisette, du gland…
Châtaigne
ou marron
?
Beaucoup de gens font l’erreur, le marron est bel et bien comestible. Mais alors, quelle est la différence entre la châtaigne et le marron ? Quel est ce marron non comestible ?
Le marron désigne en fait une variété particulière de châtaignes. La châtaigne est un marron lorsque le fruit est gros, rond (un seul fruit par bogue) et est non cloisonné. L’une des variétés n’est autre que le Marron de Lyon.
Le marron non comestible, lui, est en fait le fruit du marronnier d’inde. Il est destiné avant tout à un usage pharmaceutique.
Châtaignier
Marronnier d’Inde
Par ici pour la châtaigne d’Ardèche , du Périgord , du Cantal , des Pyrénées, des Cévennes
si vous voulez en savoir plus sur le Marronnier d’Inde, cliquez sur l’image…….

Par ankana87 le 2 février, 2009 dans Flore
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