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Un Sourire

Un sourire ne coûte rien et produit beaucoup. Il enrichit ceux qui le reçoivent, sans appauvrir ceux qui le donnent. Il ne dure qu'un instant, mais son souvenir est parfois éternel. Personne n'est assez riche pour pouvoir s'en passer, Et personne n'est trop pauvre pour ne pas le mériter. Il crée le bonheur au foyer, est un soutien dans les affaires et le signe sensible de l'amitié. Un sourire donne du repos à l'être fatigué, rend du courage au plus découragé, console dans la tristesse et est un antidote de la nature pour toutes les peines. Cependant il ne peut s'acheter, ni se prêter, ni se voler. Car c'est une chose qui n'a de valeur qu'à partir du moment où il se donne. Et si quelquefois vous rencontrez une personne qui ne vous donne pas le sourire que vous méritez, soyez généreux, donnez-lui le vôtre. Car nul n'a autant besoin d'un sourire que celui qui ne peut en donner aux autres.

Un peu de liberté……….

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Un peu de légèreté

Un peu de légèreté

passe le temps ……..

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Un peu d’évasion………….

Un peu d'évasion.............

le grenier d’Ankana

Un peu d’eau………

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Le Fauteuil

 Le Fauteuil  dans Accessoires necessairescanape2bo9 dans Accessoires necessaires

Un petit rappel :il y a quelque temps de cela j’avais mis sur mon blog un sondage sur le siège qui vous conviendrez le mieux……voilà donc le résultat :

-le fauteuil et le canapé étaient à égalité !

Alors je vous propose de remonter un peu dans le temps pour en apprendre davantage sur ces sièges que vous affectionnez tant!

Le siège est certainement l’élément
du mobilier le plus intimement mêlé à la vie de l’homme .
Au cours des siècles, sa forme change, son décor varie, son rôle dans la vie de la société est différent. L’évolution du siège français de Louis XIII à Napoléon III , retrace de façon très vivante aussi bien l’histoire des styles que l’histoire des moeurs.

Pendant le Moyen-Age , les sièges varient selon le rang et la condition de celui qui doit s’asseoir. A côté des sièges d’un usage général , tel que la forme, la selle , l’escabeau et la scabelle, il y a les sièges nobles réservés au Roi et aux Seigneurs : le faudesteuil , la chaire et le banc à dos.

Il faut attendre le début du XVII°siècle pour trouver quelque souci du confort dans la construction  des sièges.On substitue alors au carreau , coussin indépendant  que l’on pose sur le siège en bois pour en adoucir le contact , une garniture fixe clouée.Si cet apport ne rend pas au début le siège plus doux , du moins est-ce cette invention du siège  à embourrure fixe qui prépare toutes les solutions  futures plus confortables.

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Une des caractéristiques les plus constantes du siège de l’époque Louis XIII est l’emploi du bois tourné pour les pieds, les montants  et les traverses d’entre-jambes; le dossier, très haut reste droit et peu incliné, les accotoirs sont horizontaux et sans souplesse. Ce type de siège dont le modèle est répandu à cette époque dans toute l’Europe  a continué à être en faveur en France longtemps après la fin du règne du roi Louis XIII.

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Le fauteuil LOUIS XIV exprime à merveille le sentiment de la grandeur.
Il est haut sur pieds, assez large pour deux et son dossier d’une hauteur exessive. Celui ci est encore entièrement recouvert mais très souvent, le bois du siège proprement dit, recoit une riche décoration sculptée. La volute d’un accotoir est largement épanouie et généralement taillée en pleine masse ; la barre d’entre-jambes et les pieds en balustre ou en gaine sont sculptés dans le style de Lepautre.

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Au XVIII siècle, le rôle joué par la femme est immense. Elle répand son charme sur ce siècle comme LOUIS XIV avait rempli l’autre de grandeur. Elle gouverne les arts, patronne les artistes, protège les artisans.C’est avec abondance que sont créées des oeuvres de qualité imaginées pour l’agrément et le bien être. Les temps sont heureux, et à cette prospérité correspond un accroissement du luxe en France et dans l’Europe entière.

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Le siège de style Louis XV le plus caractéristique est sans doute la Bergère. Inventée vers 1725, la bergère est un vaste fauteuil, bas, profond, très enveloppant, dont les modèles ont beaucoup variés ; pour qu’un fauteuil soit une bergère, il suffit qu’il soit à joues pleines, c’est à dire sans vide entre les accotoirs et la ceinture et que le siège soit garni d’un coussin mobile gonflé de duvet. Lorsque son dossier est muni de deux oreilles, servant d’appui à la tête, la bergère est dite en confessionnal. Elle possède souvent un pupitre pour pouvoir écrire, une crémaillière pour pouvoir hausser ou baisser le dossier.

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Une des grandes transformations qui marque le passage du style Louis XV  au style Louis XVI est le changement de la ligne cambrée  du pied en une ligne droite ; les pieds du siège sont le plus souvent tournés et sont décorés de fines cannelures droites ou en spirales. Mais il y a désormais un fait acquis : les sièges ne peuvent plus se passer de la ligne courbe, la ligne qui crée le confort et la vie.

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A l’époque du Directoire et du Consulat, les sièges en acajou connaissent une vogue grandissante, l’ornementation sculptée est assez réduite et la principale beauté tient à la pureté de la ligne. Le bronze devient un élément du décor
Les sièges acquièrent une élégance et une légéreté de ligne jamais égalées mais la silhouette générale du meuble accuse une volonté de sévérité et par là cette esthétique s’écarte de la tradition du XVIIIième siècle.


Les sièges luxueux créés sous la Restauration gardent les formes Empire, mais celles ci prennent un aspect souvent plus lourd et plus mou. Les ébénistes cherchent alors un bois qui puisse remplacer celui de Cuba. La loupe de frêne, la loupe d’orme, l’érable flammé, l’érable moucheté, le citronnier donnent aux intérieurs une claire symphonie de couleurs dorées et chaudes.Cette mode s’affirme jusqu’en 1830 avec les créations souvent très réussies des grands ébénistes : JACOB DESMALTER, BELLANGE, LEMARCHAND, MARCION, WERNER etc…


A la cour de Louis Philippe qui, aussi bien aux Tuileries qu’à Saint Cloud, vit « dans les bois de Napoléon », se perpétue l’esthétique venue de l’époque impériale, mais le caractère va en s’alourdissant.
Les sièges souvent en acajou ont les pieds en console et leurs accotoirs s’enroulent en volute plus ou moins légère.

Sous l’influence de l’impératrice Eugénie, le Second Empire va donner un caractère de luxe brillant au mobilier. C’est d’abord le style néo-rococo qui envahit les salons à partir de 1850. Les meubles sont trop chargés de moulures et d’ornements sculptés. Ils sont montés sur roulettes et se font en bois doré rutilant, ou en palissandre, agrémentés de glands et de passementeries. Egalement en bois noir ou en carton déguisé et sont enrichis par les peintres laqueurs d’arabesques et de fleurs en incrustation de nacre.

                                      1865

C’est l’époque marquée par le triomphe du tapissier qui imagine les sièges capitonnés , sans bois apparent. Il les recouvre entièrement de tissus somptueux et orne leurs bases d’une frange ou d’un falbalas dissimulant les pieds.

Toutes les fantaisies sont permises, « l’esprit tapissier »domine tendant à éliminer le bois  et l’on fait jusqu’à des tabourets curieusement construits, dont les pieds imitent de grosses cordes  nouées.

Le confortable prend du volume et de l’importance, le crapaud est bas avec un dossier centré, le tabouret est un gros pouf , et la borne un canapé circulaire avec appuie au milieu qui s’harmonise

museeparcheminL’histoire des tapissiers

Le métier de tapissier prend sa source au Moyen-âge.
On constate en 1292, dans les registres de taille de la ville de Paris,
la présence de huit courtepointiers et de vingt-quatre tapissiers.
A l’origine, on parlait du tapissierIl est l’ouvrier travaillant à la réalisation des diverses sortes de tapisseries dont la destination première était d’agrémenter les murs et permettre une isolation contre les conditions atmosphériques (humidité,froid) dans les grandes demeures.
Il a aussi vocation de garnir les carcasses de sièges, de faire les rideaux et de les poser, et s’appelle depuis quelques années
tapissier en ameublement
Le courtepointierSa tâche pricipale était de transformer les tissus en courtines (rideaux) ou courtepointes (couvertures piquées).
les courtepointiers, qui tendent de riches étoffes aux murs, portent une sérieuse atteinte aux tapissier de hauteou de basse lice.
Aux environs de l’année 1350,
ils se substituent aux tapissiers pour vendre aux seigneurs des tissus de soie ou de laine.
Aux XVe siècle la tapisserie revient à la mode
après une éclipse.
Le coutepointier, qui est aussi un marchand
(il se fait appeler tapissier marchand),
revend les tapisseries en les transformant par l’adjonction de galon ou de bordure. Généralement ces tapisseries sont doublées sur l’envers. C’est alors que s’élèvent des protestations entre les deux corporations
(celle des tapissiers de haute ou de basse lice,
et celle des tapissiers marchands),
puisque les fabricants prétendent pouvoir
exécuter le même travail.
Ce conflit entraîne des procès interminables
dès la fin du XIIIe siècle.
Il prend fin en 1621, date mémorable,
qui voit la réunion de ces deux corporations en une seule,
ce qui explique qu’aujourd’hui nous portons
le nom de tapissier. (source Carrette-tapissier)

 Pour en savoir plus sur le sujet , allez donc >>> ici <<<

(source Patrick Lapie)

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