29 août, 2009
Petit montage photo, sur la plage de La Hume et de Fourras…………………………..avec en musique Grégoire : Toi +Moi
http://www.dailymotion.com/video/xab4ku


Par ankana87 le 29 août, 2009 dans creations
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28 août, 2009

Anna, 28 ans, diplôme de lettres en poche, devient caissière faute d’emploi dans sa filière . Pendant 8 ans, elle va subir l’humeur des clients, les riches, les pauvres, les complexés, les frimeurs, les petits malins, les voleurs et autres . Ceux qui lui disent bonjour ou la draguent (rares), ceux qui la confondent avec une plante verte, la méprisent, l’insultent (fréquence haute)………………..
Quatrième de couverture :
Que voit-on du monde et des gens quand on les voit du point de vue d’une caissière de grande surface ? Nous pensons que le passage en caisse est un moment neutre et nous ne nous surveillons pas. La caissière est pour nous un regard aveugle, à la limite elle est elle-même une machine. Nous nous montrons donc comme nous sommes. Et lorsque la caissière s’appelle Anna Sam, qu’elle est titulaire d’une licence de lettres et qu’elle n’a pas les yeux dans la poche de sa blouse, elle saisit sur le vif nos petits mensonges, nos petites lâchetés, nos habitudes plus ou moins bizarres, et elle en fait un livre, décalé, drôle, qui ne ressemble à aucun autre.

C’est vraiment un livre drôle mais en même temps , Anna nous montre tel que nous sommes ……..le résultat n’est pas à notre avantage!! hélas!
j’apprends à mes enfants le respect des uns et des autres et quoi que vous en pensiez : une caissière ou un caissier, ce sont des gens comme vous et moi!! cela vous étonne ?

une pièce de théatre 

http://www.dailymotion.com/video/x3y01d
et voilà le lien pour aller sur son blog : PAR ICI et PAR LA pour un article de presse…….

Une journaliste raconte son expérience en tant que caissière : >> ICI <<
Par ankana87 le 28 août, 2009 dans romans
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27 août, 2009
Depuis un certain temps déjà, on parlait en France d’envoyer des engins volants dans l’air. Certains savants, comme de Lalande(1732-1807), trouvaient cette idée absurde et impossible. Mais d’autres, tout aussi bricoleurs que les théoriciens, cherchaient des solutions.
Au début de 1782, rue Taranne, Jeai-Pierre Blanchard, partisans des engins « plus lourds » que l’air, parvenait à faire élever sa machine de près de trente mètres, mais à l’aide d’un contrepoids glissant le long d’un mât. Ses autres essais furent infructueux: la machine, trop lourde, n’avait s assez de « cadences pour frapper l’air »………………
Les frères Montgolfier, eux, papetiers à Annonay, étaient partisans des « plus légers » que l’air. Après avoir observé les nuages dans leur Vivarais natal et le feu de leur cheminée, ils essayèrent, dans le plus grand secret possible, de faire s’élever des sphères de tissu gonflées de gaz provoqué par un feu entrenu grâce à de la paille.

Le 5 juin 1783, ils décidèrent de frapper un grand coup : le jour où était réunie l’Assemblée des Etats particuliers du Vivarais à Annonay, ils lâchèret un ballon à onze heures du matin sur la place des Cordeliers, devant les yeux ébahis de tous ces grandsmessieurs. La sphère de tissu se déploya, monta dans l’air et redescendit tout doucement après un parcours d’environ sept mille deux cents pieds. Ce fut le délire. Faujas de Saint-Fond, un érudit local, en fut le spectateur. Il en écrivit la relation avec enthousiasme. Quelques jours après, la nouvelle parvint à Paris; le duc de Chartres ( futur Orléans) offrit aussitôt l’hospitalité et des fonds à qui voudrait renouveler l’expérience .

Deux mois après, le savant Charles et les frères Robert fabriquèrent, à Paris, cette fois, une autre sorte de ballon : le gaz employé était l’hydrogène, quatorze fois plus léger que l’air-après le brûlot accroché juste au-dessus de celui des Montgolfier, on ne peut pas dire que ces inventeurs connaissaient la peur…………D’autre part, au lieu d’utiliser une sphère de tissu, ils choisirent l’invention récente, justement des frères Robert, une toile recouverte de caoutchouc qu’on a su faire dissoudre; ce « vernis à caoutchouc » était pratiquement imperméable au gaz.
Le ballon fut lâché , le 27 août, au Champ-de-Mars, devant des spectateurs tellement stupéfaits qu’ils ne firent aucune attention à lpluie qui se mit à tomber avec violence, au moment où le ballon s’élevait dans les airs.

Poussé par un bon vent, il tomba en plein dans le village de Gonesse .Les habitants, terrorisés devant cet engin du « diable », appelèrent leur curé; l’un d’entre eux tira un coup de fusil sur la « bête »: dans un sifflement, elle s’abattit.( source :Les Hommes de la Liberté, Claude Manceron)


Par ankana87 le 27 août, 2009 dans Histoire, le temps
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