Voix pour une cause
Yeah yeah yeah Zayna
Ooh oh oh yeah ZaynaJe ne peux pas croire que t’as osé me frapper
Toi qui disais sans cesse que tu m’aimais
Et t’as le coeur rempli de violence
Tu m’as réduite au silenceEt pour toi j’aurais tout donné
T’étais ma vie, mon éternité
Mais c’est mon coeur que t’as violé
Sans pitié tu m’as tabasséeAujourd’hui j’ai le visage imprimé de tes coups
Mais j’ai toujours su garder le sourire malgré tout
Et je chante cette chanson avec le coeur blessé
Je pense chaque jour à toi en espérant t’oublier (x2)Ca fait trop 3 ans que tout est fini
Et j’ai mal encore aujourd’hui
Je n’étais qu’une petit fille
Qui aujourd’hui a le coeur détruitEt c’est dans ton grenier
Qu’on m’a retrouvée ensanglantée
C’est des larmes que mon père a versé
L’histoire d’un drame qui s’est mal terminé
Aujourd’hui j’ai le visage imprimé de tes coups
Mais j’ai toujours su garder le sourire malgré tout
Et je chante cette chanson avec coeur blessé
Je pense chaque jour à toi en espérant t’oublier (x2)
Ooh oh oh yeah Zayna
Et pour toi j’aurais tout fait
J’aurais fait face à n’importe quel danger
Je sais que le temps est passé
Mais ces images ne s’effaceront jamais
Aujourd’hui j’ai le visage imprimé de tes coups
Mais j’ai toujours su garder le sourire malgré tout
Et je chante cette chanson avec le coeur blessé
Je pense chaque jour à toi en espérant t’oublier
Aujoud’hui j’ai le visage imprimé de tes coups
Ooh oh oh
Et je chante cette chanson avec le coeur blessé
Ooooooooooooh oh oh yeah yeah yeah
Jamais j’t'oublierai !
Voilà le lien pour son site : Zayna
Défigurée. Quand un crime passionnel devient affaire d’Etat
Rania Al-Baz, Editions Michel Lafon
Si le témoignage de Rania Al-Baz n’avait pour cadre l’Arabie saoudite, ce ne serait qu’une triste et sordide histoire de plus d’une femme battue par un mari jaloux. Mais l’histoire de Rania Al-Baz, présentatrice vedette de la télévision saoudienne, n’est pas vraiment banale. Déjà d’avoir pu se faire une place sous les feux des médias dans un pays où les femmes n’ont pas les mêmes droits que les hommes, dans un pays où elles sont contraintes à vivre pour la plupart recluses ou cachées sous leurs voiles, relève de l’exception, sinon de l’exploit. Ce récit, dont la trame, le développement et l’écriture sont assez simples, révèle, au-delà du fait divers, un mode de vie empreint de règles très strictes. L’auteure y « dévoile » son mode de pensée et sa façon d’appréhender le quotidien mais aussi un peu de cette féminité refoulée et confrontée en permanence à un univers totalement décliné au masculin. Son récit n’est pas une croisade menée contre la religion ni contre le régime des Saoud. Tout au plus s’agit-il d’une révolte, assez mesurée, pour ne pas dire molle, dénonçant la condition des femmes dans un pays musulman de l’extrême, ici l’Arabie saoudite. Dans ce livre, comme lors des interviews qu’elle accorda aux chaînes de télévision françaises pour son lancement, Rania Al-Baz témoigne avec modération, voire même parfois avec effacement. Là où d’autres hurleraient légitimement leur colère et leur révolte, elle voudrait concilier avec élégance son immense désir de liberté et d’émancipation et son attachement aux valeurs traditionnelles et religieuses. Surprenant récit où le lecteur se demandera plus d’une fois comment il est possible pour une jeune femme éduquée et cultivée de se laisser entraîner dans une pareille histoire douloureuse dont le dénouement – c’était écrit – était inéluctable ?
Déroutante militante encore qui s’investit au sein du mouvement français « ni putes ni soumises », en qualité de porte parole dans toute la zone du Proche Orient, pour que cessent le mariage forcé, la répudiation des épouses, l’interdiction de travailler, etc. La liste des injustices et des inégalités dont souffrent les femmes dans la région est interminable… C’est un chantier gigantesque ! Mais, cette première victoire (une sacrée brèche dans la forteresse saoudienne !) annonce peut-être le commencement d’un changement. Et de terminer son livre par « Celui qui aime Dieu connaît les frontières de l’interdit. Il n’a besoin de personne pour les lui fixer »…
par Eddy Pennewaert
Par ankana87 le 23 novembre, 2009 dans amitie, coup de coeurs, genereux
Coucou,
malheureusement
et il y en a combien dans ce cas qui n’ose rien dire
et pourtant il faut rompre le silence
bises
isa
Dernière publication sur le quotidien de la vie et des gifs : DEJA UN AN
Commentaire by isabelled.monalisa — 26 novembre, 2009 @ 10:20
bonjour,
donnons du courage a toutes ces femmes meme au travers d’un petit » com « .
a +
Mamé
Commentaire by franmame — 29 novembre, 2009 @ 14:40
Bonsoir Ankana, oui comme dit Isabelle, combien de femmes battues encore et qui n’osent pas en parler et subissent en silence, ou bien qui essaient d’en parler mais on ne les écoute pas, cela se sait que lorsqu’il est trop tard, malheureusement
Je te souhaite une bonne soirée,
Et un bon début de semaine,
Bisous et A+
Tritriva
Commentaire by tritriva — 29 novembre, 2009 @ 21:36
j’adore la chanson de zayna
a bientot
oceane
Commentaire by ankana87 — 6 décembre, 2009 @ 17:07